solidarité aux 32 faucheurs d’OGM

Ecrivez aux présidents des tribunaux de Toulouse et d’Orléans pour manifester votre solidarité
jeudi 15 février 2007

Des compagnons de lutte passent bientôt en procès.

Par solidarité et parce que la jurisprudence qui pourrait ainsi se créer si notre combat est reconnu est de la plus haute importance.

*Ecrivez aux présidents des tribunaux de Toulouse et d’Orléans pour manifester votre solidarité*

Ils doivent recevoir des dizaines de milliers de lettres .....

Vous trouverez des modèles de lettre ci-après.

Les coordonnées précises du Tribunal d’Instance de Toulouse sont :

Tribunal d’Instance de Toulouse

A l’attention de Madame la Présidente

40 av Camille Pujol BP 5847

31506 TOULOUSE CEDEX 5

Téléphone : 05 61 81 61 12

Télécopie : 05 61 27 16 84

Celles du Tribunal correctionnel d’Orléans sont :

TRIBUNAL CORRECTIONNEL

A l’attention de Monsieur le Président

44, rue de la Bretonnerie

45000 - ORLEANS

Téléphone : 02 38 74 58 34

Télécopie : 02 38 53 65 74 (message àenvoyer après une page de garde mentionnant le destinataire - Monsieur le Président -, l’objet, ainsi que le nombre de pages du courrier)

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Nom

Adresse

Date

Monsieur le Président

TRIBUNAL CORRECTIONNEL

44 rue de la Bretonnerie

45000 - ORLEANS

Monsieur le Président,

Les 26 et 27 Février 2007, vous allez devoir juger 32 faucheurs accusés d’avoir volontairement neutralisé, le 14 Aoà»t 2006 àVillereaux , une parcelle d’essai (de la société MONSANTO) de maïs génétiquement modifié .

J’exprime par ce courrier ma solidarité avec les personnes inculpées dans

ce procès et je soutiens l’action de désobéissance civile des Faucheurs Volontaires d’OGM en plein champ.

Les questions de fond posées par la culture des Organismes Génétiquement Modifiés en plein champ sont multiples :

- la non maîtrise des risques de dissémination des OGM dans le milieu naturel : Le Collectif Aquitaine Avenir Sans OGM a prouvé dans une étude récente que les plantations de maïs génétiquement modifié contaminent les parcelles avoisinantes ainsi que les ruchers.
- la question éthique de la brevetabilité du vivant,

- l’appropriation de ce vivant par quelques multinationales,

- la compétition effrénée que ces entreprises se livrent àcette fin, au mépris d’une agriculture de qualité et de ceux qui, au quotidien, dans des exploitations agricoles àtaille humaine, se battent pour défendre une nourriture de qualité.

Ces questions doivent relever d’un débat démocratique qui n’existe pas dans notre pays, mais que nous espérons proche, grâce (entre autres) àl’action de désobéissance civique des Faucheurs Volontaires.

Je vous demande, Monsieur le Président, de relaxer ces personnes qui ont agi pour le bien et l’intérêt commun et en état de nécessité.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments respectueux.

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Nom

Adresse

Date

Madame la Présidente

PALAIS DE JUSTICE

tribunal d’instance

40 av Camille Pujol BP 5847

31506 TOULOUSE CEDEX 5

Madame la Présidente,

Le 27 Mars 2007, vous allez devoir juger 5 faucheurs accusés d’avoir volontairement neutralisé, le 31 juillet 2006 àDaux, une parcelle d’essai (de la société Pioneer) de maïs génétiquement modifié et 39 faucheurs accusés d’avoir volontairement neutralisé, le 30 juillet 2006, une parcelle de maïs génétiquement modifié appartenant àMonsieur Gilles METGE.

J’exprime par ce courrier ma solidarité avec les personnes inculpées dans

ce procès et je soutiens l’action de désobéissance civique des Faucheurs Volontaires d’OGM en plein champ.

Les questions de fond posées par la culture des Organismes Génétiquement Modifiés en plein champ sont multiples :

- la non maîtrise des risques de dissémination des OGM dans le milieu naturel : Le Collectif Aquitaine Avenir Sans OGM a prouvé dans une étude récente que les plantations de maïs génétiquement modifié contaminent les parcelles avoisinantes ainsi que les ruchers.
- la question éthique de la brevetabilité du vivant,

- l’appropriation de ce vivant par quelques multinationales,

- la compétition effrénée que ces entreprises se livrent àcette fin, au mépris d’une agriculture de qualité et de ceux qui, au quotidien, dans des exploitations agricoles àtaille humaine, se battent pour défendre une nourriture de qualité.

Ces questions doivent relever d’un débat démocratique qui n’existe pas dans notre pays, mais que nous espérons proche, grâce (entre autres) àl’action de désobéissance civile des Faucheurs Volontaires.

Je vous demande, Madame la Présidente, de relaxer ces personnes qui ont agi pour le bien et l’intérêt commun et en état de nécessité.

Veuillez agréer, Madame la Présidente, l’expression de mes sentiments respectueux.